Le prix Top Vélo du livre de cyclisme
Pour son remarquable ouvrage « Orage et désespoirs » récemment publié chez Mareuil éditions, Guillaume Di Grazia obtient le Prix Top Vélo 2020 du livre de cyclisme.
Détournant le genre souvent très convenu du livre de sport, le leader du team Eurosport vélo réinvente littéralement le genre en donnant à son ouvrage le ton et le rythme d’un polar. C’est ce qu’aura surligné avec enthousiasme le jury du Prix Top Vélo en distinguant à l’unanimité « Orage et désespoirs » parmi la dizaine d’ouvrages présélectionnés par la rédaction de Top Vélo.
Le point de départ choisi par Guillaume Di Grazia est l’épisode cataclysmique du Tour de France 2019 dont Julian Alaphilippe, nouveau chouchou du public, aura été la victime expiatoire. Fallait-il ou non annuler l’étape pour cause de tempête ce qui aurait laissé le maillot jaune sur les épaules glorieuses d’Alaphilippe ? Une question en forme de métaphore édifiante et angoissante. Un scenario digne des meilleurs polars modernes. Un prétexte aussi pour montrer la réalité extraordinaire de la plus importante course du calendrier mondial. Ce Tour de France qui fait de ses héros, heureux ou malchanceux, des icônes inoubliables.
Pour son premier livre Di Grazia s’offre une performance de premier choix. Ne serait-ce que de distancer les vieux (et fameux) routards du cyclisme que sont Jean-Paul Ollivier, Daniel Pautrat ou Henri Sannier.
Le point de départ choisi par Guillaume Di Grazia est l’épisode cataclysmique du Tour de France 2019 dont Julian Alaphilippe, nouveau chouchou du public, aura été la victime expiatoire. Fallait-il ou non annuler l’étape pour cause de tempête ce qui aurait laissé le maillot jaune sur les épaules glorieuses d’Alaphilippe ? Une question en forme de métaphore édifiante et angoissante. Un scenario digne des meilleurs polars modernes. Un prétexte aussi pour montrer la réalité extraordinaire de la plus importante course du calendrier mondial. Ce Tour de France qui fait de ses héros, heureux ou malchanceux, des icônes inoubliables.
Pour son premier livre Di Grazia s’offre une performance de premier choix. Ne serait-ce que de distancer les vieux (et fameux) routards du cyclisme que sont Jean-Paul Ollivier, Daniel Pautrat ou Henri Sannier.
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